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  • Photo du rédacteurCaroline Fabre-Rousseau

Une belle rencontre à la Comédie du Livre


Alors que je m'apprêtais à partir à Gènes le 27 avril , j'ai reçu ce mail émouvant :

"Bonjour ,


Je m’appelle Vlada Liashchenko, je suis étudiante en médecine à la faculté de Montpellier et je m’adresse à vous aujourd’hui pour vous remercier pour tout le travail que vous avez fait pour écrire le livre « Elles venaient d’Orenbourg ».

Ce livre est très important pour moi, parce que, tout comme Glafita Ziegelmann et Raïssa Lesk, je viens d’Orenbourg. J’ai vécu 18 ans dans cette ville et je suis venue en France en 2020 pour étudier la médecine. L’année dernière j’ai découvert que Glafira Ziegelmann venait de ma ville grâce à ma professeure de français (elle habite toujours à Orenbourg).

Depuis que j’ai acheté « Elles venait d’Orenbourg » je l’ai toujours sur mon bureau et aux moments de fatigue ou de démotivation je reviens à la magnifique histoire de Glafira Ziegelmann et je retrouve la force pour continuer. J’ai découvert également grâce à votre livre que j’habite à 2 pas de la place où Glafira Ziegelmann habitait à l’époque et à chaque fois que j’y passe je pense à elle et ça m’encourage encore plus à réussir mes études et devenir médecin.

Je vous remercie pour cet œuvre si touchante et si marquante pour moi, merci beaucoup pour votre intérêt pour ces 2 femmes extraordinaires, merci pour tout votre travail et votre attention. Un livre peut changer la vie et dans mon cas c’est le livre « Elles venaient d’Orenbourg ».


Je vous remercie pour cet œuvre si touchante et si marquante pour moi, merci beaucoup pour votre intérêt pour ces 2 femmes extraordinaires, merci pour tout votre travail et votre attention. Un livre peut changer la vie et dans mon cas c’est le livre « Elles venaient d’Orenbourg ».

Je lui ai répondu :

"Bonsoir Vlada,


Comme c’est gentil à vous d’avoir pris la peine de m’adresser ce long et touchant témoignage, qui me récompense de mes efforts et me prouve encore une fois que l’écriture est un fameux mystère et un puissant vecteur d’émotion.

C’est incroyable que vous suiviez la même trajectoire que Glafira et Raïssa ! Je vous souhaite de réussir comme Glafira qui veille sur les étudiantes de Montpellier.

Je serai à la comédie du livre sur le stand de Gibert. Ça me ferait très plaisir de vous rencontrer là ou ailleurs, car j’habite Montpellier.

Vous me parlerez d’Orenbourg et de vos études.

À très bientôt !"


Nous nous sommes rencontrées aujourd'hui à la Comédie du livre sur le stand de Gibert Joseph !


Elle m'a montré son livre, agrémenté d'une multitude de marque-pages, pour tomber plus vite sur les passages revigorants



Sa professeure de français souhaite organiser un zoom pour que je puisse rencontrer ses étudiantes. Un groupe intitulé "Elles venaient d'Orenbourg" réunit les étudiantes qui ont quitté leur ville natale pour faire des études en France. J'ai hâte de communiquer avec elles.


Gènes est la ville où Glafira Ziegelmann et Raïssa Lesk ont failli perdre leurs bagages, confondant à la frontière Genua et Genova...

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